Will you be my charming prince, Harry?

M’épouseras-tu, Harry?

La vie est un long processus de conquête de soi-même. Chaque jour qui passe, je ne cesse de me poser la même question. Qui suis-je ? Il m’arrive de les décliner sous différentes formes. Mais elles aboutissent toutes au même but : ma propre connaissance. Elle résonne dans mon esprit à tout moment surtout quand tout devient amère. J’ai tant de chose à faire, à réaliser. Mais je sais par où commencer. Je me sens seul, inutile. C’est comme un vide intérieur que je ressens. C’est difficile à dire et à expliquer. Personne ne peut comprendre ce qu’une personne autre qu’elle-même peut ressentir lorsqu’on n’atteint pas ses rêves. Les rêves j’en ai plein la tête. C’est dur à croire que je n’ai pas encore pu réaliser un seul. C’est douloureux cette d’impression d’infériorité.

Chaque fois que je me regarde dans une glace, je vois en moi une personne dynamique et ambitieuse. Je suis une personne de destin. Je suis digne de grandeur. Je ne me loue pas c’est juste une évidence. La seule difficulté aujourd’hui c’est de me lancer. Je ne sais juste pas par où commencer. Ecrire semble difficile. Il ne suffit pas d’avoir des idées. Il faut du style, de la passion mais surtout de la patience. Quand on a tant de talents cachés et qu’on vit toujours dans l’ombre c’est bien difficile de rester calme.

Je ne sais pas. Je ne sais vraiment plus. Souvent j’ai la tête pleine de bonnes idées d’écriture mais face à la machine j’oublie tout.

C’est bizarre la façon dont la vie nous traine. Elle nous éloigne de notre idéal. Début mon enfance ; j’ai tant mis mon espoir en ma vie. Mais j’ai fini par comprends que les choses ne sont pas toujours comme on le souhaite. Il y a souvent tant de retournement de situation qu’on finit par perdre le fil conducteur.

On a souvent dit que la vie est dure. Elle ne doit pas l’être. Au fait je ne sais plus ce que je compte dire à ce propos. C’est juste que certaines choses me tracassent mais je ne sais comment les développer. Mais je suis obligée de les faire. J’ai toujours aimé écrire, raconter ce qui me tenaient à cœur. Souvent j’ai l’impression de n’avoir rien à dire. Mais cela me tient tellement à cœur que je n’arrive plus à dormir.

J’ai fini par trouver la solution. Les autres après tout ce sont les autres. Je n’ai vraiment pas à vivre selon leurs envies. Ce qui me plaît doit être ma priorité. Tout le reste ne doit pas me prendre la tête. Le bonheur ne tient qu’à cela. Je ne dis pas qu’on doit vivre en ignorant l’avis de nos confrères, mais seulement qu’ils ne doivent pas vivre notre vie à notre place. Nul n’est meilleur que nous sinon nous même. Je suis la seule à savoir réellement ce que je vaux et ce que je recherche. Je connais mes sentiments. Je sais tout le temps à quoi m’attendre. Les autres ne disent de moi que ce qu’ils pensent et leurs propos sont souvent surjettent à la jalousie, à l’envie et bien d’autre. Moi je m’aime et je m’admire. Je sais que mon succès ne tiens plus qu’à un fil. Personne ne peut me convaincre du contraire. Car à force de les écouter on finit par être un fantôme de nous-même.

En traversant la rue, on me souffle que je sois jolie. Je leur réponds la plupart du temps par un merci ; je joue le jeu de la politesse. Je vis dans une société et je suis obligé dans des cas de respecter ces règles qu’imposent certaines personnes aux autres moins puissantes qu’elles. Moi je ne veux en aucun cas faire partir de la basse classe.

Je suis née dans un milieu modeste je ne dois pas mourir dans ce genre de milieu. Ma vie est déjà toute tracée. Je la vie dans mon cœur tout le temps. Je la sens et la ressent. Je sais qu’en me regardant certain me trouve hautaine, fière, impolie. Mais bon c’est la vie. Tout le monde ne peut pas m’aimer. Je suis riche de confiance et de sagesse en ma propre personne. Je Crains Dieu majestueusement assis sur son trône. Seul lui à le pouvoir de me réduire à néant. C’est pourquoi je le respecte. Il me comprend et sais que tout ce que je raconte n’et que le résultat de rêves inassouvi.

Je suis juste impatiente. La vie elle s’écoule à son rythme. Quoique je dise ou n’écrive n’entravera en rien sa fréquence d’écoulement. Chaque chose arrivera en son temps et en son heure. Ah si je pouvais contrôler le temps je serais vraiment une personne bienheureuse. Mais je préfère ne pas le contrôler. A quoi bon ? Je ne ferais que gâcher le libre équilibre des choses. Un peu de suspense c’est mieux, non ? Un peu d’angoisse de chagrin, épice notre vie et nous aime à mieux l’assaisonner lorsque nous nous en sortons. Que serais la vie sans sa petite mauvaise surprise. Monotone ! Elle serait fade sans gout sans intérêt aucun. Je l’adore ma vie actuelle. Je pleure à des moments. Par exemple ce matin, j’étais d’une humeur morose, c’est bien ce qui me pousser à écrire. L’écriture me fais du bien, elle m’envoi sur un septième ciel. Pas vous ?

Mais il y a une bonne différence entre écrire et aimer écrire. Moi j’étale en tout lieu ma passion inaltérable et mon envie de créer de nouvelles histoires. La première œuvres que j’ai pu écrire et qui m’a donnée le courage d’en écrire d’avantage est un fiasco total. Je l’ai donné à une dame pour lire et corrigé mais elle ne m’a jamais constaté pour la suite. Et quand j’y pense j’ai les sentiments d’avoir été nulle. C’était ma première œuvre ; j’ai pu constater par elle mes fautes et mes erreurs. Aujourd’hui si j’arrive encore à taper le clavier et à regarder mon écran, c’est bien grâce à elle. Peut-être n’a-t-elle pas eu le temps de la lire ! Je ne lui en veux pas. Je continue mon chemin. Elle ne sera pas la seule. De nombreuses personnes me regardent aussi de haut pensant surement que je n’ai aucun avenir dans ce métier et se moquent de moi. Je ne dis rien, ça me fait juste mal. C’est à cause de ces personnes que je lutte et que j’écris encore et encore. Je le ferai toujours, c’est mon destin et j’y crois. Ce n’est pas facile, même la mort est difficile pour certaines personnes.

J’ai pris l’habitude de dire que je serai le futur prix Nobel de littérature. J’y croix et je sais que j’attendrais mon but, mon idéal. Même la mort ne pourra rien contre moi. Il suffit de regarder autour de nous pour remarquer que les choses avancent. Même la terre évolue. Alors pourquoi pas moi ? Je ne serai probablement jamais la future reine d’Angleterre (je tire mon chapeaux à Kate Middleton) Comment a-t-elle fait ? quel rêve faisait-elle ? Peut-elle qu’elle y croyait seulement. Peut-elle qu’elle y rêvait. Moi j’y pense ; mais je n’y rêve pas. A quoi bon me tracasser l’esprit. Je suis trop vieille pour épouser le Prince Georges. E le Prince Harry épousera-t-il une femme noire venant du fin fonds de la savane africaine ? Même pas en rêve. Bon bref, c’est possible quand on pense qu’Obama a pu devenir le président des USA. Qui aurait cru ? Qui n’a jamais pensé à épouser un prince charmant ? M’épouseras-tu Harry ? Je ne pense pas. C’est douloureux à accepter mais c’est la vie et c’est de cette façon que les choses doivent se passer. Pourrait-on dire que Dieu a réservé le bonheur pour certains privilégiés ? Pourtant nous sommes une multitude de personne sur cette belle et agréable terre. Pourquoi ne suis-je pas née dans une famille riche et haut placée. D’aucuns diront que les voies de Dieu sont insondables. Moi je dis que c’est la vie. Chacun à sa part de combat à mener dans ce monde. Peut-être suis-je née pour changer les pensées ? Pourquoi ne pourrais-je pas épouser un prince charmant ? Ne suis-je pas belle ? N’avons-nous pas le même Dieu et le même ciel ? On crie de toute part que le racisme est un délit. Serez-vous prêts Prince Harry à m’épouser ? Le pourriez-vous ? Oui vous le pourriez et ce sera au grand désespoir de toutes ces jeunes filles qui me lisent. Ce serait bien.

Le bonheur appartient à chacun de nous. Il nous faut juste aller le chercher. Certaines personnes disent que le destin est inéluctable. Ce qui t’a destinée t’arrivera surement. Moi je ne sais pas si cela est vrai. Je ne suis pas encore vieille donc voyez vous-même ? Le destin est-il réel ? Je n’y vraiment rien à dire à ce propos. Je saï juste qu’il faut faire confiance en ses idéaux. L’échec fait partie intégrante de la réussite d’une personne. Ne pas se fier aux paroles des autres est une des clés. L’avenir nous éclairera. Je compte atteindre mon but.

En traversant la rue j’ai vu une jeune fille du quartier qui crachait. Cela fait plusieurs fois que je la surprends en train de faire cela. Je me dis qu’il se peut qu’elle soit enceinte. Je ne le dit pas avec conviction, c’est juste une supposition que je fais. Je ne connais pas réellement cette jeune fille sinon juste de vue. Je ne sais rien de sa vie non plus. J’ai juste l’impression qu’elle a la vie d’une frivole. Dieu me pardonne c’est juste l’air qu’elle me donne. Je ne la juge ni la condamne. J’avais une idée arrêtée sur ces genres de personnes. Pour moi, une fille qui tombe enceinte sans être marrie était une fille facile. J’avais réellement honte de ces gens. Mais depuis, ma pensée a évolué. Nous ne sommes plus dans les temps anciens et l’être humain normal doit changer certaines de ses habitudes. Changer ne veut pas dire se perdre et oublier tout de ses pratiques, ses cultures. A ce rythme on oublierait même de mourir. Et si on oublierait de mourir, ah véritable catastrophe. Le monde deviendra une fourmilière. Je préfère qu’on meure. J’ai eu à vivre une espérance assez choquante qui m’a permis de voir autrement l’histoire et d’éviter de juger les gens sur leur apparence. Beaucoup de personnes me trouve assez hautaine, arrogante, renfermée mais pur toi Harry je suis la meilleure des autres. Hâte-toi de venir me chercher. L’important c’est ma conception. Je suis bien dans ma peau. Je m’aime et je m’accepte avec tous mes défauts et mes qualités. Honnêtement je ne pense vraiment pas avoir de défauts. Je suis juste trop parfaite pour ceux qui en trouvent chez. Etre différente ne signifie pas être mauvaise.
J’ai toujours dit que les autres me verront comme je veux qu’ils me voient. Je suis bienheureuse et c’est de cette façon que Mme vous qui me lisez me trouverez. Ce sont notre propre peur qui nous éloigne de la vie. Cela ne servirait à rien de s’accaparer des pensées d’une autre personne.